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Notre histoire

Présentation en quelques mots

Le Centre Scolaire Don Bosco offre un enseignement orienté par l'œuvre entreprise par Saint Jean Bosco. Sensibilisé par la difficulté de la jeunesse à trouver sa place dans la société, il a prôné l'approche de la pédagogie salésienne.

La caractéristique fondamentale de celle-ci est de respecter le jeune, de le considérer comme le principal sujet de son éducation et d'accorder une attention privilégiée à celui qui rencontre le plus de difficultés dans son parcours scolaire. 

Cette pédagogie ne peut être pratiquée sans un esprit critique d'équipe. En effet, une qualité relationnelle entre tous les acteurs de l'équipe éducative associée à un dialogue constant avec les parents permettent à l'élève d'évoluer dans un climat de confiance et de respect mutuel.

Notre école s'inscrit dans cette pédagogie. En effet, elle se veut être un lieu sécurisant où le jeune est constamment encouragé dans ses projets et un lieu qui respecte son rythme d'apprentissage.

"Sans affection pas de confiance, sans confiance pas d'éducation"

La pédagogie salésienne répond à un objectif précis qui vise, au même titre que toute pédagogie, l'autonomie de l'élève.

L'école, composée de deux implantations (Ghlin et Quiévrain), propose un enseignement professionnel organisé dans les sections puériculture, vente et coiffure. 

Elle s'inscrit également dans le cadre d'une coopération avec la formation en alternance (CEFA) et ce, via de nombreuses options.

Son enseignement, associé à la philosophie salésienne, vise à développer une pédagogie de qualité qui incite à la réflexion pluridisciplinaire. Les multiples projets réalisés en sont le témoignage.

Le développement social et culturel de l'élève reste le principal objectif de l'équipe éducative.

Celle-ci composée d'une centaine de professeurs et 9 auxiliaires en éducation, met son professionnalisme et sa motivation au service des élèves. Former des adultes responsables, autonomes et épanouis constitue sa mission première.

L'école interagit avec le monde professionnel par le biais d'un partenariat. Cette immersion en stage enrichit le bagage théorique de l'élève.

En nous rendant visite, vous pourrez juger de l'infrastructure mise à la disposition de nos élèves. Vous pourrez également admirer leurs travaux qui vous convaincront de la qualité de notre enseignement.

La disponibilité et l'engagement de notre personnel sont des principales sources de motivation pour nos élèves.

Implantation de Quiévrain

Historique de l'implantation de Quiévrain

En 1946, les Soeurs de Sainte-Marie de Namur cèdent les écoles (gardienne, primaire et secpndaire professionnelle) de Quiévrain aux Soeurs Salésiennes de Don Bosco : c'est la naissance de l'Institut Sainte-Marie.

 

A cette époque, l'école est dirigée par Soeur Yvonne Smeets. S'ouvre l'enseignement moyen et se développe l'enseignement professionnel (4 années d'études en lingerie, coupe, confection, dessin).

 

En 1963, l'enseignement général fait son apparition (6 années d'études menant vers la scientifique B).

 

Le 4 janvier 1970, Soeur Yvonne est appelée à gérer la Communauté des Soeurs Salésiennes de Belgique; Mr Claude Leveau (alors professeur de français, histoire et esthétique au degré supérieur) devient directeur de l'établissement (général et technique de transition et de qualification). Soeur Hélène Saigot dirige la section professionnelle de l'école.

 

En 1971, l'enseignement général s'engage dans le rénové de type 1.

 

En 1980, l'ISMQ (Institut Ste-Marie de Quiévarin) devient la première école mixte de la région

 

En 1983, l'école d'enseignement général/technique et l'école professionnelle n'en forment plus qu'une gérée par Mr Leveau. A cette époque, Soeur Isabelle Jouck est présidente du Pouvoir organisateur (composé exclusivement de religieuses de la Communauté).

 

En 1996, l'ISMQ connaît une restructuration et fusionne avec l'implantation de Ghlin du Centre scolaire Saint-Stanislas de Mons. Les deux implantations (Quiévrain/Ghlin) ainsi réunies deviennent le Centre scolaire Don Bosco (CSDB). La "nouvelle" école propose de nombreuses formations étalées sur 7 années d'études (ens.général, ens. technique, ens. prof: habillement, vente-étalage, coiffure, services sociaux, puériculture). L'école s'engage dans de très nombreux projets européens (échanges/rencontres avec des écoles d'Italie, Luxembourg, Allemagne, France, Espagne, Madère, Hongrie, Suède, Hollande, Danemark, etc...) Le Comité européen de l'enseignement catholique (CEEC) donne à l'école le statut "d'école catholique à dimension européenne".

 

En 1999, le CSDB ouvre un CEFA (centre de formation en alternance) en coopération avec l'Institut Saint-Luc. De nombreuses sections (auxiliaire de magasin, vendeur, coiffeur, commis de salle, commis de cuisine, électricien, jardinier, palefrenier-groom,...) sont offertes aux jeunes de la région.

 

En 2000, les religieuses décident de quitter Quiévrain pour développer leurs nouveaux projets à Jette et Louvain-la-neuve. Le Pouvoir organisateur se restructure, Mr Leveau prend la présidence du Conseil d'administration.

 

Le 1er novembre 2007, Mr Leveau décide de partir à la pension après plus de 40 ans de services dans l'école dont 37 à la direction. Des directions se succèderont.

 

Aujourd'hui, l'école est sous la direction de Mr Vincent Loiseau.

 

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Implantation de Ghlin

Au 19ème siècle

1840 : les Pères Jean-Baptiste L’Hoir et Louis Blanquart arrivent à Mons, rue des Ursulines (aujourd’hui rue Fétis).

1845 : achat d’une aile de l’ancien hôtel du Val de Beaulieu, rue des Dominicains. Constructions diverses à front de la rue.

7 octobre 1851 : ouverture du Collège St-Stanislas. 18 élèves en 6 ème Latine et 10 en Préparatoire.

1851-1879 : construction de plusieurs bâtiments, dont celui des arcades, au fond de la grande cour, et l’église, consacrée en 1869.

1870 : le Collège compte 240 élèves, dont 109 pensionnaires.

1893 : incendie du bâtiment des arcades. Reconstruction et agrandissement (inauguration en 1895)

1897 : création de l’Association des Anciens.


 

Première moitié du 20ème siècle

1907 : achat de l’hôtel Rouwez (aile gauche de l’ancien hôtel du Val de Beaulieu). Aménagement du réfectoire dans l’ancien salon Empire.

1911 : 422 élèves au Collège, dont 210 en Latin-Grec, 125 en Modernes, 16 en Première Scientifique et 71 en Préparatoires.

1912 : les élèves du Père Honnay présentent « Achilleus », d’après Homère.

1914-1918 : le Collège est réquisitionné à plusieurs reprises. Vingt élèves ou anciens élèves meurent dès le début de la guerre.

​1919 : le Père Chassot crée au Collège la première troupe scoute du Hainaut

1929 : installation de la TSF et de téléphones intérieurs.

1930 : une brochure de « propagande » signale que les cours de gymnastique sont obligatoires, ceux d’anglais, d’allemand et de dessin facultatifs. On peut prendre des leçons particulières (payantes) de musique et d’escrime. Le pensionnat revient à 5.600 francs l’an et le minerval d’un externe à 200 francs.

1932 : prolongation du bâtiment des arcades en direction du jardin des Pères. Aménagement de la salle des Missions (dite aussi salle d’Académie).

1940 : le bombardement allemand du 14 mai ne touche guère le Collège, mais au Sacré-Cœur voisin plusieurs religieuses sont tuées.

1944 : le bombardement allié du 10 mai détruit une partie du bâtiment des classes et la salle des fêtes.

1947-1950 : reconstruction du bâtiment des classes et des pensionnaires, construction d’une salle de gymnastique.

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Du centième au 125ème anniversaire

  • 1951 : fêtes du centenaire du Collège, du 1 er au 3 juin. Le 2, visite du Prince Baudouin, alors Prince Royal. Représentation de « Jules César » au Théâtre Royal de Mons.

  • 1959 : première pièce annuelle des Rhétos : « Œdipe-Roi » de Sophocle.

  • 1961 : création de la Scientifique Spéciale.

  • 1963 : début des voyages de Rhétos (en Italie).

  • 1965 : les sections Latin-Math et Latin-Sciences s’ouvrent.

  • 1966-1967 : rénovation complète de l’église.

  • 1967 : création de l’Association des Parents.

  • 1968-1979 : démolition et reconstruction de l’ensemble du bâtiment de la rue des Dominicains et de l’église. Construction de la petite résidence et du « Trianon » attenant à la nouvelle église. Construction de la salle omnisports à l’emplacement du préau de la seconde cour.

  • 1968 : des rhétoriciennes du Sacré-Cœur et des Ursulines participent pour la première fois à la pièce des Rhétos, « Le Marchand de Venise » de Shakespeare.

  • 1969 : les premières étudiantes font leur apparition en Scientifique Spéciale.

  • 1970 : renaissance des Modernes, prolongées ensuite par les Economiques. Le Collège compte 390 élèves.

  • 1971 : les deux premiers professeurs féminins, Claudine Demols-Dewulf et Fernanda Bonafini, enseignent au Collège. Pour la première fois, le titulariat d’une classe de Rhétorique est confié à un laïc, Etienne Vandendorpe.

  • 1974 : suppression de l’internat.

  • 1976 : le Collège a 125 ans.

  • 1978 : le Collège compte 497 élèves.


 

1979-2010

  • 1979 : le Collège devient mixte : arrivée des premières filles en humanités. Le Pouvoir Organisateur, jusque-là composé des directeurs des sept collèges jésuites de Belgique francophone, cède le relais à un P.O. « local », avec des professeurs, des parents, un Ancien, un représentant extérieur et huit Jésuites.

  • 1980 : débuts de l’enseignement rénové. Un laïc, Raymond Hennebicq, devient pour la première fois préfet de discipline.

  • 1982 : nomination du premier directeur laïc du Collège, Jean-Pierre Dubuquoy. Le Père Pattyn, Recteur, dirige désormais uniquement la communauté jésuite.

  • 1985 : sortie de la première promotion mixte de Rhétos, qui est aussi la dernière promotion de l’enseignement traditionnel. Fusion avec l’Ecole Professionnelle de Ghlin. Nomination de Raymond Hennebicq comme sous-directeur et de Pierre Noë comme préfet des études.

  • 1992 : retraite de Raymond Hennebicq. Pierre Noë devient sous-directeur et préfet du 1 er degré. Anne Roels est nommée préfète du 2 ème degré. Pour la première fois, les Rhétos dépassent le chiffre 100 : ils sont 104 à terminer leurs études.

  • 1993 : la Compagnie de Jésus renonce à sa majorité absolue au sein du Pouvoir Organisateur : seuls quatre Jésuites demeurent au P.O.

  • 1994 : fusion des Pouvoirs Organisateurs du Centre Scolaire St-Stanislas et de l’Externat St-Joseph.

  • 1995 : le Collège dépasse les 800 élèves.

  • 1996 : l’Ecole Professionnelle de Ghlin quitte le Collège et rejoint l’Institut Ste-Marie à Quiévrain pour devenir le Centre Scolaire Don Bosco.

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